Commentaires La Truffière

Fine dinning at its best. Fantastic meal. Excellent service, extensive champagne list and the food was divine. Seven course meal was fun and fantastic. Go there. You will not be disappointed.

Il est des maisons dont il faut saluer la constance et la persévérance dans l’adversité. La Truffière avait subi un incendie en 2002, qui l’avait obligé à abandonner son élégante cheminée (norme de sécurité, quand tu nous tiens !). Elle avait ensuite attendu des années une étoile du Guide Michelin, que l’on a connu nettement plus rapide pour d’autres établissements. Au départ de Jean-Christophe Rizet, le même guide retirait cette même étoile à une célérité rarement vue. On l’a connu nettement moins rapide pour d’autres établissements. La parenthèse Poard étant close, nous repartons aujourd’hui sur de nouvelles bases avec Aurélien Braguier. Si je vous dis que son dernier emploi était chez Jean-Luc Rabanel, vous savez tout de suite à quoi vous attendre : la sublimation du légume sous toutes ses formes. Cela commence avec un amuse-bouche de petits pois avec une sauce tomate confite, crème montée au sésame et pousse de shizo. Une préparation qui éclaircit la bouche en début de repas. Produit assez travaillé qui met dans l’ambiance. Le ceviche de dorade alterne la multiplicité des goûts en mélangeant avocat, citron, piment d’Espelette, poivrons rouges et mangue. Les feuilles de capucine et fleurs de concombre parfont l’ensemble. On constatera un tout petit déséquilibre sur le citron, un soupçon trop présent. Petit souci reconnu par le chef et attribué, on en est d’accord, aux réglages indissociables de son arrivée récente. Le maquereau est quant à lui plus provençal puisque fumé au thym et romarin et accompagné de fèves. La fleur et surtout la feuille de capucine, que l’on trouvait déjà sur le ceviche, donne une pointe poivrée originale. Il est accompagné d’une infusion de combava et arêtes de poisson. Infusion qui est en fait un fumet mais complètement dégraissé. L’appellation est plus light ! C’est toujours cette capucine que l’on retrouve sur les crevettes snackées au curcuma avec une émulsion aux algues. Enfin un peu de viande avec les sot-l’y-laisse de la tartelette croquante de carottes jaunes, panais, shizo et fleur de bourrache pour cette fois-ci. Puis le presa de cochon ibérique, fenouil, betterave, fanes de carottes et pousses de capucines (la femme du chef doit s’appeler Capucine !). Et un jus réduit de volaille. Ce qui ne change pas à La Truffière, c’est l’impressionnant plateau de fromages qui fait honneur à la tradition française. Ils sont de plus en plus rares les restaurants qui osent dépasser le banal assortiment de trois/quatre pâtes conservées sans pitié au réfrigérateur. Pour ce qui est des desserts, la récente arrivée du chef ne lui a pas encore donné le temps d’organiser la carte à sa guise. Nous restons donc pour le moment sur de bonnes réalisations mais qui restent assez classiques, sans l’originalité déployée dans le salé. Coté vin, Christian Sainsard est un passionné qui accumule les flacons les plus prestigieux. Il n’a pas 1 mais 17 millésimes de Petrus, 27 d’Ausone et 28 de Cheval Blanc. Mais aussi 2 pages de Romanée-Conti et 13 pages de Champagne ! Autant dire que vous trouverez obligatoirement votre bonheur. Mention particulière à l’étonnante bouteille de Gran Murales 1998, vin espagnol plantureux et riche. Ainsi qu’au champagne Cheurlin, superbement fleuri et d’une grande finesse. Techniquement, il n’y a vraiment rien à redire sur la conception et l’assemblage des plats. Ensuite, comme vous le savez, mon blog est un peu ogresque. Donc, à titre tout à fait personnel, tout ceci manque un peu de gras pour moi. Donc pas un reproche mais une information que vous devez avoir en tête quand vous réserverez dans cette belle Maison. Si vous voulez un dîner cassoulet, vous serez déçu ! C’est une cuisine inventive, travaillée et légère qui vous comblera pour une soirée élégante et raffinée. Textes Blog La Table d'Ogre

Une expérience exceptionnelle et inoubliable : le menu truffe permet de savourer des associations de saveurs subtiles et sublimées dans chacune des propositions. L'accord mets et vins permet une réelle harmonie et de belles découvertes comme le vin d'Alsace orange. Bravo au chef Quentin Maisonnobe et merci pour votre visite à la fin de notre repas! Je recommande à 1000%!!

Une expérience culinaire tout simplement époustouflante. Dès l’entrée dans ce lieu élégant et raffiné, on est accueilli par le personnel exceptionnellement attentionné qui nous accompagne tout au long de cet extraordinaire voyage gustatif. Le protagoniste incontesté de chaque plat est bien sûr la truffe, traitée ici avec un respect et une maîtrise absolus. De l’entrée jusqu’au dessert, chaque plat est un régal. Les saveurs sont audacieuses, sophistiquées et remarquablement équilibrées. Le menu gourmand est un parcours initiatique où chaque étape révèle une nouvelle facette. En bref, la truffière paris n’est pas simplement un restaurant, c’est une véritable expérience, un voyage dans le monde merveilleux de la haute gastronomie française.

Une très belle découverte et une expérience client irréprochable. Le Patron est prévenant et très pro. L’équipe en salle est topossime👍et disponible.Les plats sont raffinés. Je vous recommande vivement cette belle table pas loin du Panthéon !

Alors que nombre de restaurants gastronomiques font une course sans fin vers la "modernité ", la truffière reste bien posée sur ses bases et cultive sans faillir l'art de la table à la française. Mais attention, sans pour autant donner une impression vieillotte ou pincée. Certains plats atteignent des sommets et légitiment pleinement le tarif de certains menus. Carte des vins d'exception et beaux accords choisis. Review complète sur le site restos sur le grill.fr

Milles Merci à toute l'équipe... Nous sommes montés sur Paris pour que je fasse ma demande en mariage et j'ai contacté ce restaurant au préalable afin de réserver... Ils ont toujours été aux petits soins et à notre service, avant même d'arriver jusqu'à notre départ. Ils nous ont même privatisé le petit salon afin de nous laisser dans notre bulle d'amour... La cuisine, absolument rien à dire...Que de belles dégustations, et un vrai régal... Bravo, pour réussir avec des produits simples, à nous faire voyager à chaques bouchées. Nous avons également pris la route des vins pour accompagner ce repas....Encore une fois, rien à dire, tout simplement magique, avec un sommelier aux petits soins également... Merci encore une fois à toute l'équipe, qui a conclut cette journée inoubliable pour nous...

Nous avons fait un incroyable repas dans ce restaurant, où il y a une carte de vin incroyable et la qualité des mets provoque des explosions de saveurs. Le menu change tout les mois, l'un des 3 meilleurs restaurants de ma vie... #merci @aurelien.braguier Ce que l'on a mangé. En amuse bouche une focacia avec une huile d'olive incroyable 😋😋😋🤯❤❤❤ Gaspatcho de cerise et tomate coeur de pigeon avec glace à l'ail 😋😋😋🤯❤❤❤ Capriccio d'artichauts avec copeaux de parmesan 24 mois 😋😋😋🤯❤❤❤ Agneau rosé avec truffe avec une ratatouille de légumes fumés 😋😋😋🤯❤❤❤ Une mousse de fraise avec une glace à la fraise 😋😋😋🤯❤❤❤ Une déclinaison autour de l'abricot avec un fond de crumble, du fromage blanc 😋😋😋🤯❤❤❤ Et les mignardises avec un macaron à la truffe spécialité de la maison 😋😋😋🤯❤❤❤❤❤❤❤❤❤ Donc vous allez passer un super repas, par contre la qualité ça se paie.

Il est des maisons dont il faut saluer la constance et la persévérance dans l'adversité. La Truffière avait subi un incendie en 2002, qui l'avait obligé à abandonner son élégante cheminée (norme de sécurité, quand tu nous tiens !). Elle avait ensuite attendu des années une étoile du Guide Michelin, que l'on a connu nettement plus rapide pour d'autres établissements. Au départ de Jean-Christophe Rizet, le même guide retirait cette même étoile à une célérité rarement vue. On l'a connu nettement moins rapide pour d'autres établissements. La parenthèse Poard étant close, nous repartons aujourd'hui sur de nouvelles bases avec Aurélien Braguier. Si je vous dis que son dernier emploi était chez Jean-Luc Rabanel, vous savez tout de suite à quoi vous attendre : la sublimation du légume sous toute ses formes. Cela commence avec un amuse-bouche de petits pois avec une sauce tomate confite, crème montée au sésame et pousse de shizo. Une préparation qui éclaircit la bouche en début de repas. Produit assez travaillé qui met dans l'ambiance. Le ceviche de dorade alterne la multiplicité des goûts en mélangeant avocat, citron, piment d'Espelette, poivrons rouges et mangue. Les feuilles de capucine et fleurs de concombre parfont l'ensemble. On constatera un tout petit déséquilibre sur le citron, un soupçon trop présent. Petit souci reconnu par le chef et attribué, on en est d'accord, aux réglages indissociables de son arrivée récente. Le maquereau est quant à lui plus provençal puisque fumé au thym et romarin et accompagné de fèves. La fleur et surtout la feuille de capucine, que l'on trouvait déjà sur le ceviche, donne une pointe poivrée originale. Il est accompagné d'une infusion de combava et arêtes de poisson. Infusion qui est en fait un fumet mais complètement dégraissé. L'appellation est plus light ! C'est toujours cette capucine que l'on retrouve sur les crevettes snackées au curcuma avec une émulsion aux algues. Enfin un peu de viande avec les sot-l'y-laisse de la tartelette croquante de carottes jaunes, panais, shizo et fleur de pensée pour cette fois-ci. La Truffière Tartelette croquante sot-l'y-laisse de près ! Puis le presa de cochon ibérique, fenouil, betterave, fanes de carottes et pousses de capucines (la femme du chef doit s'appeler Capucine !). Et un jus réduit de volaille. Ce qui ne change pas à La Truffière, c'est l'impressionnant plateau de fromages qui fait honneur à la tradition française. Ils sont de plus en plus rares les restaurants qui osent dépasser le banal assortiment de trois/quatre pâtes conservées sans pitié au réfrigérateur. Pour ce qui est des desserts, la récente arrivée du chef ne lui a pas encore donné le temps d'organiser la carte à sa guise. Nous restons donc pour le moment sur de bonnes réalisations mais qui restent assez classiques, sans l'originalité déployée dans le salé. On ne peut terminer un repas à La Truffière sans se laisser tenter par un digestif qu'Eric Pelchat vous trouvera en replongeant avidement dans la cave ! L'Armagnac étant mon péché mignon, ce sera un Domaine de Mader 1974. Coté vin, Christian Sainsard est un passionné qui accumule les flacons les plus prestigieux. Il n'a pas 1 mais 17 millésimes de Petrus, 27 d'Ausone et 28 de Cheval Blanc. Mais aussi 2 pages de Romanée-Conti et 13 pages de Champagne ! Autant dire que vous trouverez obligatoirement votre bonheur. Mention particulière à l'étonnante bouteille de Gran Murales 1998, vin espagnol plantureux et riche. Ainsi qu'au champagne Cheurlin, superbement fleuri et d'une grande finesse. Techniquement, il n'y a vraiment rien à redire sur la conception et l'assemblage des plats. Ensuite, comme vous le savez, mon bog est un peu ogresque. Donc, à titre tout à fait personnel, tout ceci manque un peu de gras pour moi. Donc pas un reproche mais une information que vous devez avoir en tête quand vous réserverez dans cette belle Maison. Si vous voulez un dîner cassoulet, vous serez déçu ! C'est une cuisine inventive, travaillée et légère qui vous comblera pour une soirée élégante et raffinée. Textes Blog La Table d'Ogre

Excellent ! Cuisine élaborée et raffinée des accords parfaits ,de la truffe sous toute ses formes et dosée juste comme il le faut ! Service professionnel et aimable Je recommande

WAHOU ! C'est la deuxième fois que je dîne à La Truffière et je suis à chaque fois émerveillée par la qualité des mets et le professionnalisme du service ! La cuisine du chef est remarquable, pleine de saveurs et de subtilité, c'est un régal pour les papilles ! Je vous invite à demander l'accord mets/vins lorsque vous venez dîner car c'est une expérience à vivre, les vins proposés par la sommelière sont de très belles découvertes. Courez-y ça vaut largement un restaurant étoilé(s). Merci Chef ! :) A la prochaine NB : le menu est totalement de saison et change tous les mois !